Savoir échouer pour réussir
Cessons de nous inquiéter de nos difficultés face à l’échec. Focalisons-nous plutôt sur notre capacité à apprendre.
Nous ne subissons pas assez d’échecs. Nous devons échouer plus, plus rapidement et plus fortement, et convaincre nos leaders que l’échec est acceptable.
Il y a quelques années, Harvard Business Review avait consacré un numéro entier à cette thématique sous le titre Spécial erreurs. L’introduction à cette édition mentionnait : « L’échec. Nous sommes des hypocrites à ce sujet. Sur Internet, vous trouverez des aphorismes séduisants concluant à l’inéluctabilité de l’échec et à l’importance d’en tirer les leçons. Dans la réalité, dans la vie quotidienne des entreprises, l’échec est un sujet tabou. Nous en avons peur. Nous l’évitons. Nous le pénalisons ».